Non, un Business Plan n’est pas indispensable pour créer son entreprise ! Voilà pourquoi…
Point de passage quasi obligé pour les startups, le Business Plan fait néanmoins peur à de nombreux entrepreneurs qui ne savent pas forcément comment s’y prendre et se découragent souvent à l’idée de devoir passer des heures, des jours, voire des semaines à le rédiger. Mais est-il vraiment nécessaire ?
Et si le Business Plan, ce fameux document, bête noire des créateurs d’entreprise, n’était pas indispensable ?
Vous avez été nombreux à réagir à mon affirmation et à marquer votre étonnement ou même votre désaccord, et je vais développer ici mon point de vue sur le sujet.
Avant tout, soyons clair : lorsque je parle de Business Plan, je parle bien du document, souvent copieux en nombre de pages, qui formalise un ensemble d’informations sur votre projet de création d’entreprise.
C’est un document que je connais bien : lorsque j’étais cadre dirigeant dans une grande banque internationale, j’ai eu l’occasion d’en rédiger de nombreux pour des projets internes de plusieurs millions d’euros, et depuis que j’ai créé La Business Factory, j’ai conseillé avec succès de nombreux entrepreneurs pour rédiger et améliorer le leur et ainsi lever à ce jour plus de 800 K€.
Sans prétendre être exhaustif, voici un plan basique pour rédiger un Business Plan :
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Description de votre projet d’entreprise (executive summary)
- Description du dirigeant et de son équipe
- Présentation de la problématique à laquelle vous répondez
- Présentation de la solution que vous proposez
- Présentation et analyse du marché que vous visez
- Description de votre positionnement et de votre valeur-ajoutée
- Présentation et analyse de la concurrence directe et indirecte
- Etat des lieux des ressources présentes et manquantes
- Stratégie de développement et perspectives de croissance
- Analyse financière sur 3 à 5 ans (Capital, Trésorerie, Investissements, BFR, Structure de coûts, Revenus prévisionnels)
- Le cas échéant, capital recherché auprès des investisseurs et modalités
- Informations de contact, articles de presse, site web
Souvent, ce document est long, voire très long, et surtout fastidieux à préparer, d’autant plus qu’au moment où les entrepreneurs le rédigent, leur projet n’en est qu’à ses début et de nombreuses questions restent ouvertes.
A titre d’exemple, j’ai rencontré l’année dernière un Indépendant qui m’a soumis son Business Plan. Le document faisait plus de 50 pages, il décrivait dans les moindres détails son parcours et ses compétences, les services qu’il proposait et les problèmes que ceux-ci permettaient de résoudre, le marché qu’il visait, ses concurrents, et de nombreux tableaux de prévisions financières étaient présents. Lorsque je lui ai demandé combien de temps cela lui avait pris, il m’a répondu qu’il y avait passé près d’un mois !
Un mois sans avancer concrètement sur son projet, un mois sans faire connaître ses services et sans chercher de clients… en bref, un mois perdu en grande partie !
« Je n’ai rédigé aucun Business Plan pour les 4 sociétés que j’ai créées au cours de ma carrière d’entrepreneur, et toutes ont plutôt bien fonctionné. »
Pourquoi considérer que ce mois passé à travailler sur son Business Plan était du temps en grande partie perdu ?
Parce qu’un Business Plan n’est nécessaire que lorsque vous envisagez de solliciter des fonds, que ce soit auprès de votre banquier, d’investisseurs ou de Business Angels, ou encore auprès d’une plateforme de crowdfunding.
Et si l’on regarde la réalité des chiffres, bien moins de 10% des créateurs d’activité économique recherchent des fonds auprès de ces différents financeurs pour démarrer.
Si toutefois votre projet fait partie de ces quelques pourcents qui doivent se plier à l’exercice, avant de vous lancer dans la rédaction d’un pavé digne de Balzac, renseignez-vous pour savoir ce que votre interlocuteur aimerait recevoir !
D’une part cela vous évitera de devoir tout recommencer parce que vous ne respectez par le format attendu par vos investisseurs ou votre banquier, mais surtout, cela vous évitera peut-être de passer trop de temps dessus. Vous seriez étonné de savoir le nombre d’organismes de financement ou de subvention pour lesquels un solide tableau Excel accompagné d’un document de présentation « light » (Word ou PowerPoint) est plus apprécié qu’un document passablement ennuyeux de 30 pages ou plus !
En dehors de ces situations, je le répète : un Business Plan n’est pas nécessaire !
En ce qui me concerne, je n’ai rédigé ce document pour aucune des sociétés que j’ai créées au cours de ma carrière d’entrepreneur, et toutes ont plutôt bien fonctionné. J’ai lancé mes différentes sociétés avec mes fonds propres et parfois un peu de Love Money, mais je n’ai jamais eu besoin de faire appel à du financement externe. Donc pas de Business Plan dans ce cas-là.
Le « beau » document, longuement rédigé et soigneusement mis en page, voire traduit en plusieurs langues, est totalement inutile pour l’entrepreneur qui ne recherche pas de fonds, pour autant qu’il fasse l’exercice de se poser avec sincérité et sérieux un certain nombre de questions.
Les réponses pourront être formalisées dans une série de tableaux informatifs, de schémas explicatifs, d’objectifs S.M.A.R.T. et de plannings. Croyez mon expérience, les tableaux de bord dynamiques et comparatifs vous seront bien plus utiles que de belles phrases bien rédigées.
« Un indépendant sur deux arrête son activité avant 2 ans parce que son projet était mal conçu et non rentable. »
Mais alors, quelles sont les questions indispensables à se poser pour créer son entreprise ?
Ce qui compte réellement, et j’insiste sur ce point, c’est le processus de réflexion initial puis tout au long de votre lancement de la vie de votre entreprise, la recherche d’informations et la compilation et l’analyse de toutes celles-ci pour créer le « modèle d’affaires » qui est une représentation de ce que sera votre activité dans les prochains mois, semestres et années.
Cela inclut une analyse financière de votre rentabilité (en particulier le fameux point d’équilibre que je vois rarement dans des Business Plans et qui est pourtant capital) et la projection de trésorerie pour déterminer vos réserves avant de vous lancer, celles qui vous permettront d’attendre votre première vente sans devoir fermer boutique faute de ressources.
Et surtout, allez sur le terrain pour vérifier vos hypothèses, rencontrez du monde, cherchez les contradicteurs, comprenez la psychologie de vos clients… En résumé : confrontez le plus tôt possible vos idées et votre vision à la réalité du terrain !
Voici quelques questions qu’il est indispensable de se poser et auxquelles vous devrez pouvoir répondre pour limiter au mieux les risques d’échec de votre projet de création d’entreprise :
- Qui seront vos clients?
- Quels sont les besoins que vous pourrez satisfaire, et les problèmes que vous pourrez résoudre pour ces clients ?
- Par quelles prestations (produits ou services) ?
- Quelle est la taille de votre marché et qui sont vos concurrents (directs mais aussi indirects) ?
- Quelle est votre valeur ajoutée, ce qui vous distingue de vos concurrents ?
- Quelle est la valeur perçue de vos prestations, et dans quelle gamme vous situez-vous sur votre marché ?
- Comment allez-vous vous faire connaître, et comment allez-vous proposer vos prestations (en direct, via des apporteurs d’affaires, via des réseaux de distribution, via des partenariats…) ?
- Quelles compétences vous manquent et comment allez-vous compenser cela ?
- Quels sont les risques et comment allez-vous les gérer ?
- Quels seront vos coûts variables et vos coûts fixes ?
- Quels sont vos investissements et les montants nécessaires à votre lancement ?
- Comment allez-vous les financer ?
- Quel est votre besoin de fonds de roulement ?
- Combien de temps pouvez-vous tenir sans vente ?
D’autres questions viendront au fil de votre projet et de votre activité, mais faites-moi confiance, si vous pouvez déjà répondre efficacement et de manière réaliste à ces premières questions, vous serez sur la bonne voie !
N’oubliez pas le pitch !
Bien entendu, vous devrez aussi préparer votre pitch, pour pouvoir présenter efficacement votre activité et vos prestations. A ce sujet, je vous recommande d’en préparer plusieurs, sous différents formats :
– A l’oral : 30 secondes / 1 minute / 3 minutes / 10 minutes
– A l’écrit : 3 mots clés / une phrase / 3 phrases / une page A4 / un PowerPoint de 9 slides
Tous ces points sont capitaux, et sont le « minimum légal » pour vous lancer dans la création de votre activité dans de bonnes conditions. Il y en a d’autres, mais qui dépendent pour beaucoup de votre activité, de votre secteur et de vos prestations (produits ou services).
Voilà donc pourquoi j’affirme que le Business Plan n’est pas nécessaire dans la grande majorité des projets de création d’entreprise, et vous devez probablement vous sentir soulagé de lire cela si vous envisagez de vous lancer mais que vous êtes découragé par l’idée de devoir passer par ce « rituel » souvent présenté à tort comme obligatoire.
« L’entrepreneuriat peut se comparer à l’ascension du Mont-Blanc ou la traversée de l’Atlantique à la voile, c’est une aventure passionnante, exaltante mais aussi difficile, et même si le guide ou le skipper qui vous accompagne ne pourra pas tout résoudre pour vous, il vous évitera bien des erreurs qui peuvent s’avérer lourdes de conséquences ! »
Attention, tout n’est pas si simple ! Mon conseil : faites-vous aider et accompagner par un professionnel pour votre création de business, cela vous évitera bien des problèmes.
Cependant vous n’êtes pas sorti d’affaire, et j’insiste fortement sur la nécessité de vous poser les questions que j’ai citées plus haut. Je vous recommande vivement de vous faire aider par un expert pour ce travail de préparation qui vous évitera bien des déconvenues.
Faire appel à un professionnel a un coût, c’est vrai, mais perdre de nombreux jours à rédiger un document inutile coûte aussi beaucoup, et ne pas se préparer correctement vous coûtera encore plus si votre projet de création échoue ou ne rencontre pas le succès escompté.
L’entrepreneuriat est une aventure qui demande une bonne préparation
Il ne vous viendrait sûrement pas à l’idée de gravir le Mont-Blanc ou de traverser l’Atlantique à la voile sans vous préparer et sans vous faire conseiller par des professionnels expérimentés. Il ne vous viendrait pas non plus à l’idée d’apprendre l’alpinisme ou la navigation uniquement en lisant des livres, des témoignages et des manuels. C’est pourtant ce que font de nombreux entrepreneurs !
L’entrepreneuriat n’est pas différent de ces deux exemples dans son mode de fonctionnement, c’est une aventure passionnante, exaltante mais aussi difficile et dangereuse (pour vos finances et votre égo, mais pas pour votre vie heureusement !), et même si le guide ou le skipper qui vous accompagne ne pourra pas tout résoudre pour vous, il vous évitera bien des erreurs qui peuvent s’avérer lourdes de conséquences !
« C’est ce que nous pensons déjà connaître qui nous empêche souvent d’apprendre. » – Gaston Bachelard
Au cours de ma carrière, j’ai rencontré beaucoup d’entrepreneurs qui pensaient « savoir ce qu’il faut faire » et dont le projet était pourtant très fragile sur certains points qui avaient été mal préparés.
Je peux aussi citer quelques exemples très médiatisés de startups ayant levé des millions pour ensuite se planter lamentablement sur des erreurs qui me semblent pourtant évitables en prenant le temps de la réflexion : TakeAway et ses mauvais choix stratégiques de production et sa méconnaissance du fonctionnement du marché visé, Save et ses erreurs en terme de développement international et de mauvaise gestion des contrôles internes, etc…
Et pas besoin d’être une startup pour échouer : 1 indépendant sur 2 arrête son activité avant 2 ans parce que son projet était mal conçu et non rentable.
Echouer est presque devenu à la mode, surtout parmi certains étudiants qui lancent leur projet à la va-vite, juste pour ajouter une ligne sur un CV encore trop maigre pour impressionner les recruteurs.
Mais croyez-moi, cela n’a rien de sexy lorsqu’on a la responsabilité d’une famille, des charges et des emprunts sur le dos, et qu’on risque bien plus que quelques dizaines d’heures passées à développer une application « révolutionnaire » qui ne vivra pas plus que 6 mois.
Pour autant, cela reste une aventure formidable, passionnante, durant laquelle vous apprendrez beaucoup de choses, y compris sur vous-même, et qui vous apportera la satisfaction inégalable d’avoir osé !
Alors faites les bons choix pour que votre rêve d’indépendance ne se transforme pas en cauchemar !
Vous avez un projet, contactez-moi et parlons-en ensemble. Je peux vous éviter de nombreuses erreurs et vous aider à mener votre projet de création d’entreprise à bon port !
Que vous envisagiez de vous lancer comme indépendant, de créer une startup ou une entreprise traditionnelle, notre approche pragmatique et orientée « terrain » vous permettra non seulement de trouver les bonnes réponses à ces questions indispensables, de concevoir et de préparer votre pitch sous différents formats, de préparer et renforcer votre Business Plan si vous en avez besoin, mais également de ne pas perdre de temps et de constituer votre base de prospects (et même de premiers clients) avant même le lancement de votre activité !
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A propos de La Business Factory.
La Business Factory (www.la-business-factory.com) est le premier Incubateur Nomade et Booster d’Entrepreneurs à destination des Startups, Indépendants, TPE et PME. Nous soutenons vos projets à Genève, Lausanne, Annecy, Paris et Lyon.
A la différence des incubateurs « classiques », notre approche place l’entrepreneur au cœur de son projet et aborde non seulement les problématiques business de la création d’entreprise, mais également les difficultés rencontrées personnellement par l’entrepreneur durant la naissance et la vie de son entreprise.
Nous proposons des modules d’accompagnement spécifiques, que ce soit pour votre business ou pour vous même, ainsi que des abonnements « All Inclusive » vous permettant de bénéficier de notre approche exclusive à 360° Business(+)Humain à des coûts maîtrisés et abordables.
La Business Factory aide aussi les entrepreneurs déjà établis à atteindre le niveau suivant de leur parcours entrepreneurial, via notre Business Booster. Notre modèle d’affaire, une rémunération basée en partie sur vos résultats, garantit un total engagement de notre part aux entrepreneurs que nous accompagnons.
Pour en savoir plus, visitez notre page LinkedIn, et suivez-nous au quotidien sur Facebook, sur Instagram et sur Twitter.
Voilà qui ne va pas faire plaisir à certains, mais vous avez raison ! Si l’on n’a pas besoin de financements, on peut très bien préparer son business sans passer du temps à rédiger un document trop complexe. Il faut surtout bien évaluer son marché, et l’adéquation avec ce qu’on propose, la majorité des startups meurent faute de clients !
Courageux ou provocateur de bousculer une idée bien ancrée, cela permet d’y réfléchir et de mieux percevoir ce qui est bon pour soi.
Il en va de même avec une certification… un travail d’équipe pour répondre à une exigence qui permet à l’entreprise d’aller plus loin ou un travail académique d’un consultant externe?
Merci d’oser!
Nathalie
Merci beaucoup pour votre commentaire et vos encouragements Nathalie.
Pour répondre à votre remarque, c’est sûrement un peu des deux : provocateur pour bousculer effectivement une idée reçue et amener à réfléchir, et courageux si j’en juge par certains commentaires dans les forums où j’ai partagé cet article, qui dérange de toute évidence certains marchands de rêves comme je les appelle. Je ne me suis pas fait que des amis en publiant cet article, mais j’assume ma vision réaliste et pragmatique de l’entrepreneuriat et de l’accommpagnement ! Et j’ai également eu des encouragements comme le vôtre 🙂
Toujours aller chercher le fond, et ne pas se laisser diriger par la forme (autant que possible !).
Bien à vous
Jacques
http://www.linkedin.com/in/jacquesbouquard
Bonjour,
Merci pour ce long, très long message.
D’abord je pense que nous devrions arrêter de chercher toujours d’autres termes pour appeler un chat un chat.
Comme pour construire une maison on a besoin de plans d’architecte, d’ingénieur et financier ainsi qu’un échéancier,
Un business plan c’est un plan de notre business.
Que cela soit 50 pages de texte, d’autres informations que vous avez mentionné plus bas, cela reste un plan de notre business qui reste indispensable pour une startup qui désire survivre plus de deux ans.
Je pense même que ce business plan doit être mis à jour chaque année pour changer de direction au fur et à mesure que l’on évolue.
Le business plan est un outil pour l’entrepreneur lui même en tout premier lieu pour qu’il puisse construire sa startup d’une manière objective.
Ce qu’on y met dedans nous appartient.
Merci en tout cas pour toutes vos suggestions, qui sont pertinentes.
Ce qui est je pense bien moins indispensable c’est un guide coûteux qui ne sera peut être pas à la hauteur de nos besoins.
Beaucoup d’entreprises offrent des services d’aides aux startups qui disent pas mal de choses qui ne sont pas toujours vraies ou d’une quelconque aide. Beaucoup de conseils sont divulgués mais la résolution des problèmes concrets sont parfois inexistants. Par contre, les honoraires eux sont bien réels.
Merci de vos conseils.
Salutations Christine
Merci pour votre long commentaire Christine.
J’espère que vous l’avez compris, c’est le fait de présenter ce document formaté comme indispensable que j’attaque, pas le travail de fond qu’il faut absolument mener.
Mettre ses idées à plat, mener une réflexion de qualité et la plus complète possible, c’est indispensable sous peine de très mauvaises surprises.
On trouve hélas trop de « vendeurs de rêves », qui sous couvert de vous fournir un modèle de BP simple à remplir, avec quelques heures de conseil en prime, veulent faire croire 1/ que le doc en lui-même est indispensable, 2/ qu’il suffit de le « remplir » pour avoir un business qui tient la route.
Je crois qu’il est de la responsabilité des professionnels de l’accompagnement des Entrepreneurs, dont je fais partie, de tenir un discours de vérité et d’assainir ce marché où l’on trouve vraiment tout et n’importe quoi. Dois-je déduire de votre commentaire un peu acide sur les structures d’accompagnement que vous avez eu affaire à ce type de sociétés et que vous avez été déçue ? Si c’est le cas, j’en suis désolé pour vous et cela renforce ma détermination à contribuer à l’amélioration des services rendus.
Vous parlez de startups, mais je me permets de rappeler qu’elles ne sont qu’une toute petite part de la création d’entreprise ! Et je suis en contact quotidien avec des hommes et des femmes qui veulent se lancer, mais se trouvent découragés voire bloqués dans leur démarche parce qu’ils ne savent pas comment remplir ce document qui leur a été présenté comme indispensable.
Vous parlez également de guide, mais l’exemple que vous donnez n’est pas celui d’un guide, mais d’un marchand de rêves, comme je les appelle. Un vrai guide est avec vous, à vos côtés, sur le terrain, qu’il connaît bien. Il ne vend pas de solution miracle, mais s’adapte au niveau et aux besoins des entrepreneurs qu’il accompagne.
C’est en tout cas ma vision de l’accompagnement, et les feedbacks de mes clients indiquent que cette vision correspond à leurs attentes.
Au plaisir de poursuivre cet échange sur LinkedIn.
Bien à vous
Jacques
http://www.linkedin.com/in/jacquesbouquard